Des représentants de l’administration, des autorités traditionnelles, des chefs religieux, des OSC, des enseignants et des étudiants se sont réunis pour contribuer au projet et améliorer l’élaboration de guides d’analyse politique et d’éducation à la paix.

   A la fin de l’atelier, quelques recommandations ont été avancées :
  – Par les partis politiques pour diffuser des discours politiques dans la langue locale (le pidgin, en l’occurrence) lors de sorties médiatiques, en faisant appel à un journalisme responsable.
  – Par des professionnels de l’éducation pour diffuser des messages de paix et des illustrations dans le guide pratique qui sera publié dans le cadre de ce projet.

   D’autres recommandations appelaient également à former les plus jeunes enfants (école maternelle et primaire) à l’éducation à la paix, à renforcer la sensibilisation et le plaidoyer auprès des OSC locales, pour la cohésion sociale et la paix, en étant eux-mêmes les premiers acteurs du changement et en évitant les discours de haine.

   Les étudiants privilégient d’un usage responsable des réseaux sociaux en évitant de partager tout message à caractère tribal ou haineux, et impliquant des activités religieuses.

Women Peace Initiatives,  Cameroon for a World Beyond War,  Feplem Moral,  Youth For Peace